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philosophy
@Timo, je pense que si tu connais pas déjà, tu vas bien aimé. Moi j'ai aimé :]
Franchement … c'est quoi la définition "officielle" (il n'y en a pas vraiment que je sache) de "Dieu" ?
Ce que j'ai souvent remarqué c'est que "Dieu" n'est généralement (je veux dire : pour beaucoup de monde) qu'un amas de croyances (ou "anti-croyances") personnelles.
Rien d'officiel là dedans … Du coup, on pourrait même se mettre d'accord sur le fait que cette notion variable est donc personnelle.
Et pourtant non, les gens s'évertuent à vouloir :
1) trouver une "VÉRITÉ" à ce sujet (et donc la seule et unique)
2) Et souvent à vouloir croire que leurs "croyances" (ou "anti-croyances") SONT, justement, la dite vérité.
Ils en sont tellement convaincus qu'ils veulent imposer leur vision personnelle des choses.
Bref, je vais arrêter de tourner autour du pot, selon moi, les "non croyants" "classiques", sont juste des croyants eux aussi.
Tout simplement car ils croient, naïvement, que :
1) Si Dieu il devait y avoir, ça serait "LE" Dieu qu'on décrit toujours (souvent, mais pas toujours, le Dieu du Christianisme)
2) Ils croient notamment en plein de préjugés farfelus (la liste est longue - miracles, etc - mais notamment le préjugé du point n°1)
(Certains interprètent même les paroles de la Bible (par exemple) au premier degré ! Ahaha, alors moi non plus je n'y croirais pas x))
Donc forcément, si selon vous, vous croyez que "Dieu" (& co) est un ensemble de croyances farfelues, alors vous ne pouvez pas décemment croire en ces "âneries".
Mais, que font alors la majorité des athées ? Vu qu'ils pensent assez naïvement que "Dieu" ne pouvait être que cette farce, alors c'est qu'il n'existe rien d'autre. Nada.
Pardonnez-moi, mais même si c'est là une des pensées philosophiques les plus répandues, je n'en saisi pas la logique.
Et, avant que je poursuive, Merci, messieurs et mesdames, d'éviter de vous identifiez à vos croyances et vous sentir offensés (car ce genre de chose arrive rapidement) car là n'est évidemment pas mon but : vive la discussion et l'ouverture d'esprit !
Personnellement, je ne sais pas vous, mais peu importe ce que je décide de croire au final, j'aimerais que ça soit un choix, un vrai.
C'est-à-dire pas juste une acceptation car seule pseudo-réalités présentée à vos yeux depuis votre naissance (avec l'illusion du choix).
Car si vous naissez chrétiens (c'est toujours l'exemple que je choisis car celui que je connais le mieux mais ça peut s'appliquer à n'importe quelle religion/philosophie) et l'accepter tout bonnement … j'appelle pas ça un choix, dans la mesure où vous le croyez uniquement car étant enfant on croit ce qu'on nous dit point.
Je pense que pour toute philosophie/religion, il faut au moins la questionner pour ensuite, au choix, s'en éloigner ou, enfin, en faire vraiment un choix personnel et réfléchi.
Et bien, comme je l'ai plus ou moins expliqué tout à l'heure, l'athéisme est juste une croyance dans le néant justifiée par une anti-croyances mal justifiée et donc déguisée comme n'étant pas une croyance (et c'est communément accepté, lol). Si vous ne croyez pas en certaines religions (ou les préjugés que vous en avez) cela n'induit pas qu'il ne reste que le néant, vous manquez juste d'imagination, de vue, de savoir.
Alors, parlons-en de ces autres possibilités justement.
Je pourrais appeler ça "Dieu" mais il s'agit surtout de la place libérée pour pouvoir y mettre ce que vous voulez.
Dans un premier temps, "Dieu" pourrait se placer aux limites de la Science (et je pense sincèrement que religion/philosophie et science ne sont pas (ou ne devraient pas être) antagonistes, ils peuvent être tout à fait compatible selon moi, selon la façon dont vous les interpréter) :
Qu'y avait-il avant le big bang ? Qu'y a-t-il au delà de l'Univers ? Et dans les particules ?
Il y a des choses dont la Science ne s'occupe pas, elle a ses limites et le dit elle-même, certaines questions n'ont pas de sens pour la Science, on ne saura, théoriquement, jamais ce qu'il y a eu avant le big bang (par exemple) (nos outils ne pourront jamais le mesurer normalement) et elle répond à ça que ces questions, alors, sont réservée à la philosophie.
Au delà, de ces simples questions (et il y en a beaucoup d'autres), croyez donc en ce que vous voulez : une religion mainstream ou votre propre imagination puisque, théoriquement, jamais rien ni personne ne pourra dire si c'est vrai ou non.
Ce qui, je le rappelle, n’entraîne pas non plus leur fausseté, mais, si je dois aussi vous le rappelez, le but n'est pas de trouver une ou la vérité (introuvable théoriquement), mais ce en quoi vous croyez, si cela vous fait plaisir, vous rassure, etc.
C'est un manque à gagner énorme auxquels se privent les "athées" sous prétextes qu'ils ne croient pas aux "dieux" mainstream, alors, ils doivent, par exemple, souffrir encore plus lorsque leur proche disparaît. La science nous apprend majoritairement ce qui est vrai, vérifiable et nous apprend de temps à autres à démonter des mythes. Mais pour tout le reste (+ votre imagination) la science n'y touche pas et s'y refuse alors pourquoi ne pas y croire ?
Par exemple, si vous êtes chrétiens (par exemple), vous aurez plus facile à faire le deuil d'un proche car vous le "savez" au paradis, alors que, vous, pauvre athée vous vous forcez à croire au néant, on dirait presque que vous vous complaisez dans la souffrance de la perte d'un proche au point d'en souffrir plus qu'il n'est nécessaire (car une perte d'un proche nous fera toujours souffrir), je ne pense pas que nos proches (ou vous même vis à vis de vos proches) souhaitaient qu'on souffre comme des laids lorsque le destin viendrait les prendre ? (Bon, j'ai juste utilisé ce mot pour éviter de dire des mots crus et morbides hein, c'est un autre sujet)
Quid de si on s'autorise à croire en ce que l'on peut croire sans sortir des infamies comme "si je crois en Dieu alors la science est tabou" (wtf) ? Vous pouvez par exemple croire en une certaines formes de paradis si vous le voulez (encore une fois, c'est à vous d'imaginer l'idée qui vous aidera le mieux), qu'il est par exemple maintenant dans un monde meilleur.
(Maintenant, très personnellement, pour éviter le drama du genre "- Papa où est maman ? - Dans un monde meilleur [Quelques jours plus tard, sur une lettre laissée par l'enfant s'étant suicidé] - Papa, je suis partit rejoindre maman dans ce monde meilleur" (Oups), je me dis que, ce qui nous attend après la mort, on ne le saura qu'à ce moment là ^^ (seriously) donc autant profiter de la vie au maximum :) ce qui nous attend à ce moment, on ne pourra le savoir qu'à ce moment là de toutes façons, et juste dans le cas où ça serait "moins" bien :p alors vaut mieux rester ici autant que possible (car ici au moins on sait que ça peut être bien ! lol))
Mais il y a encore beaucoup d'autres façons d'imaginer les choses. Si "Dieu" n'est pas le vulgaire tas de fantaisies que beaucoup d'entres vous semblent se plaire à croire, alors "Dieu" pourrait aussi être "Tout" ou "La vie" par exemple.
D'une part, à partir du moment où vous avez acceptez le fait qu'il n'y a pas de vérité ultime à propos de ce sujet, vous vous libérez personnellement et ça apprend énormément le respect vis-à-vis des autres "croyances" (Believe whatever the fuck you want ^^ (as long as you let me to do as well :p))
Une dernière analogie que j'aime beaucoup faire pour aider les gens à appréhender cette idée :
- Prenons comme théorie qu'il y a un chat derrière un mur.
- Je vous demande s'il y a un chat ou non (le mur est opaque, vous ne pouvez le contournez, etc, etc)
- Que vous me répondiez oui ou non, vous avez donc tout aussi tord/raison vu que, selon les règles définies, c'est impossible à savoir (donc que vous soyez croyant pur ou athée pur, vous avez tous les deux autant tord/raison (take that!)).
- Maintenant, prenons comme théorie qu'on admet qu'il y ait bien un chat derrière ce mur. Donc si c'est bien le cas, de quel couleur est ce chat ? Ou sa taille ?
- Vous ne savez pas me répondre ? Normal …
- Mais êtes vous bien sûr qu'il s'agit d'un chat ? N'est-ce pas un chien ? :)
- Et êtes vous sûr qu'il n'y en a qu'un ? :D
Donc, théoriquement, et désolé si cela sonne blasphématoire, mais que je crois à un paradis tout en chocolat, en rien du tout, en Dieu, Hallah, ou que sais-je encore … selon CE point de vue, tous se valent ^^ (mais on ne peut pas juger que sur ce point de vue, alors on se calme :p)
Bon, c'est un sujet et long et complexe donc j'espère avoir bien exprimé mes idées (si vous ne les comprenez pas, c'est que j'ai du rater mon coup, oups, n'hésitez pas à me contacter ^^ ce mode de pensée que j'ai adopté est un mode de pensée libre qui ne va à l'encontre de rien et qui ne peut vous apporter que du bon, j'aimerais qu'il puisse profiter aux plus de personnes possibles)
Ce que j'ai souvent remarqué c'est que "Dieu" n'est généralement (je veux dire : pour beaucoup de monde) qu'un amas de croyances (ou "anti-croyances") personnelles.
Rien d'officiel là dedans … Du coup, on pourrait même se mettre d'accord sur le fait que cette notion variable est donc personnelle.
Et pourtant non, les gens s'évertuent à vouloir :
1) trouver une "VÉRITÉ" à ce sujet (et donc la seule et unique)
2) Et souvent à vouloir croire que leurs "croyances" (ou "anti-croyances") SONT, justement, la dite vérité.
Ils en sont tellement convaincus qu'ils veulent imposer leur vision personnelle des choses.
Bref, je vais arrêter de tourner autour du pot, selon moi, les "non croyants" "classiques", sont juste des croyants eux aussi.
Tout simplement car ils croient, naïvement, que :
1) Si Dieu il devait y avoir, ça serait "LE" Dieu qu'on décrit toujours (souvent, mais pas toujours, le Dieu du Christianisme)
2) Ils croient notamment en plein de préjugés farfelus (la liste est longue - miracles, etc - mais notamment le préjugé du point n°1)
(Certains interprètent même les paroles de la Bible (par exemple) au premier degré ! Ahaha, alors moi non plus je n'y croirais pas x))
Donc forcément, si selon vous, vous croyez que "Dieu" (& co) est un ensemble de croyances farfelues, alors vous ne pouvez pas décemment croire en ces "âneries".
Mais, que font alors la majorité des athées ? Vu qu'ils pensent assez naïvement que "Dieu" ne pouvait être que cette farce, alors c'est qu'il n'existe rien d'autre. Nada.
Pardonnez-moi, mais même si c'est là une des pensées philosophiques les plus répandues, je n'en saisi pas la logique.
Et, avant que je poursuive, Merci, messieurs et mesdames, d'éviter de vous identifiez à vos croyances et vous sentir offensés (car ce genre de chose arrive rapidement) car là n'est évidemment pas mon but : vive la discussion et l'ouverture d'esprit !
Personnellement, je ne sais pas vous, mais peu importe ce que je décide de croire au final, j'aimerais que ça soit un choix, un vrai.
C'est-à-dire pas juste une acceptation car seule pseudo-réalités présentée à vos yeux depuis votre naissance (avec l'illusion du choix).
Car si vous naissez chrétiens (c'est toujours l'exemple que je choisis car celui que je connais le mieux mais ça peut s'appliquer à n'importe quelle religion/philosophie) et l'accepter tout bonnement … j'appelle pas ça un choix, dans la mesure où vous le croyez uniquement car étant enfant on croit ce qu'on nous dit point.
Je pense que pour toute philosophie/religion, il faut au moins la questionner pour ensuite, au choix, s'en éloigner ou, enfin, en faire vraiment un choix personnel et réfléchi.
Et bien, comme je l'ai plus ou moins expliqué tout à l'heure, l'athéisme est juste une croyance dans le néant justifiée par une anti-croyances mal justifiée et donc déguisée comme n'étant pas une croyance (et c'est communément accepté, lol). Si vous ne croyez pas en certaines religions (ou les préjugés que vous en avez) cela n'induit pas qu'il ne reste que le néant, vous manquez juste d'imagination, de vue, de savoir.
Alors, parlons-en de ces autres possibilités justement.
Je pourrais appeler ça "Dieu" mais il s'agit surtout de la place libérée pour pouvoir y mettre ce que vous voulez.
Dans un premier temps, "Dieu" pourrait se placer aux limites de la Science (et je pense sincèrement que religion/philosophie et science ne sont pas (ou ne devraient pas être) antagonistes, ils peuvent être tout à fait compatible selon moi, selon la façon dont vous les interpréter) :
Qu'y avait-il avant le big bang ? Qu'y a-t-il au delà de l'Univers ? Et dans les particules ?
Il y a des choses dont la Science ne s'occupe pas, elle a ses limites et le dit elle-même, certaines questions n'ont pas de sens pour la Science, on ne saura, théoriquement, jamais ce qu'il y a eu avant le big bang (par exemple) (nos outils ne pourront jamais le mesurer normalement) et elle répond à ça que ces questions, alors, sont réservée à la philosophie.
Au delà, de ces simples questions (et il y en a beaucoup d'autres), croyez donc en ce que vous voulez : une religion mainstream ou votre propre imagination puisque, théoriquement, jamais rien ni personne ne pourra dire si c'est vrai ou non.
Ce qui, je le rappelle, n’entraîne pas non plus leur fausseté, mais, si je dois aussi vous le rappelez, le but n'est pas de trouver une ou la vérité (introuvable théoriquement), mais ce en quoi vous croyez, si cela vous fait plaisir, vous rassure, etc.
C'est un manque à gagner énorme auxquels se privent les "athées" sous prétextes qu'ils ne croient pas aux "dieux" mainstream, alors, ils doivent, par exemple, souffrir encore plus lorsque leur proche disparaît. La science nous apprend majoritairement ce qui est vrai, vérifiable et nous apprend de temps à autres à démonter des mythes. Mais pour tout le reste (+ votre imagination) la science n'y touche pas et s'y refuse alors pourquoi ne pas y croire ?
Par exemple, si vous êtes chrétiens (par exemple), vous aurez plus facile à faire le deuil d'un proche car vous le "savez" au paradis, alors que, vous, pauvre athée vous vous forcez à croire au néant, on dirait presque que vous vous complaisez dans la souffrance de la perte d'un proche au point d'en souffrir plus qu'il n'est nécessaire (car une perte d'un proche nous fera toujours souffrir), je ne pense pas que nos proches (ou vous même vis à vis de vos proches) souhaitaient qu'on souffre comme des laids lorsque le destin viendrait les prendre ? (Bon, j'ai juste utilisé ce mot pour éviter de dire des mots crus et morbides hein, c'est un autre sujet)
Quid de si on s'autorise à croire en ce que l'on peut croire sans sortir des infamies comme "si je crois en Dieu alors la science est tabou" (wtf) ? Vous pouvez par exemple croire en une certaines formes de paradis si vous le voulez (encore une fois, c'est à vous d'imaginer l'idée qui vous aidera le mieux), qu'il est par exemple maintenant dans un monde meilleur.
(Maintenant, très personnellement, pour éviter le drama du genre "- Papa où est maman ? - Dans un monde meilleur [Quelques jours plus tard, sur une lettre laissée par l'enfant s'étant suicidé] - Papa, je suis partit rejoindre maman dans ce monde meilleur" (Oups), je me dis que, ce qui nous attend après la mort, on ne le saura qu'à ce moment là ^^ (seriously) donc autant profiter de la vie au maximum :) ce qui nous attend à ce moment, on ne pourra le savoir qu'à ce moment là de toutes façons, et juste dans le cas où ça serait "moins" bien :p alors vaut mieux rester ici autant que possible (car ici au moins on sait que ça peut être bien ! lol))
Mais il y a encore beaucoup d'autres façons d'imaginer les choses. Si "Dieu" n'est pas le vulgaire tas de fantaisies que beaucoup d'entres vous semblent se plaire à croire, alors "Dieu" pourrait aussi être "Tout" ou "La vie" par exemple.
D'une part, à partir du moment où vous avez acceptez le fait qu'il n'y a pas de vérité ultime à propos de ce sujet, vous vous libérez personnellement et ça apprend énormément le respect vis-à-vis des autres "croyances" (Believe whatever the fuck you want ^^ (as long as you let me to do as well :p))
Une dernière analogie que j'aime beaucoup faire pour aider les gens à appréhender cette idée :
- Prenons comme théorie qu'il y a un chat derrière un mur.
- Je vous demande s'il y a un chat ou non (le mur est opaque, vous ne pouvez le contournez, etc, etc)
- Que vous me répondiez oui ou non, vous avez donc tout aussi tord/raison vu que, selon les règles définies, c'est impossible à savoir (donc que vous soyez croyant pur ou athée pur, vous avez tous les deux autant tord/raison (take that!)).
- Maintenant, prenons comme théorie qu'on admet qu'il y ait bien un chat derrière ce mur. Donc si c'est bien le cas, de quel couleur est ce chat ? Ou sa taille ?
- Vous ne savez pas me répondre ? Normal …
- Mais êtes vous bien sûr qu'il s'agit d'un chat ? N'est-ce pas un chien ? :)
- Et êtes vous sûr qu'il n'y en a qu'un ? :D
Donc, théoriquement, et désolé si cela sonne blasphématoire, mais que je crois à un paradis tout en chocolat, en rien du tout, en Dieu, Hallah, ou que sais-je encore … selon CE point de vue, tous se valent ^^ (mais on ne peut pas juger que sur ce point de vue, alors on se calme :p)
Bon, c'est un sujet et long et complexe donc j'espère avoir bien exprimé mes idées (si vous ne les comprenez pas, c'est que j'ai du rater mon coup, oups, n'hésitez pas à me contacter ^^ ce mode de pensée que j'ai adopté est un mode de pensée libre qui ne va à l'encontre de rien et qui ne peut vous apporter que du bon, j'aimerais qu'il puisse profiter aux plus de personnes possibles)
Tiens, j'aime beaucoup pouvoir poser des noms sur certaines idées que j'ai parfois :)
Le panthéisme dit que Dieu est tout (God is everything).
Le panthéisme dit que Dieu est tout (God is everything).
(ATTENTION, très long texte et … assez brouillon ! j'essayerais de l'éditer plusieurs fois pour le compléter et en améliorer la forme)
On m'a souvent dit que je devrais écrire mes idées pour les partager, plutôt que de me contenter d'en parler avec quelques trop rares personnes ci et là.
Je me dit souvent rêveur mais, je me cite, qu'il est inutile de rêver si on ne réalise pas ces rêves et c'est pour cela que je ferais tout ou presque si nécessaire pour arriver à mes fins (mais elles ne sont pas vraiment égoïstes alors ça va).
Mais la vraie beauté de la chose, vous savez c'est quoi ? C'est qu'en plus d'y parvenir d'une façon ou d'une autre, si on trouve la bonne façon, ça n'a pas besoin d'être un vrai 'combat' dans le sens où il faudrait beaucoup combattre et ça peut même être bénéfique dès le début :)
Alors, je voudrais adresse un petit message aux fatalistes, sachez reconnaître que tout un chacun (donc vous et moi compris) sommes tous plus ou moins influencés par les autres, par l'extérieur et trop souvent certains prétextes que les autres étant plus nombreux que nous même (forcément) alors les choses sont inéluctables, mais qui sont les autres ? Ne faisons-nous pas partie d'un tout ? L'idée c'est qu'en faite, nous sommes aussi les autres.
Alors voulez-vous être influencés (car défaitiste, fataliste, …) ou influant ? Le changement, seule constante, se fait par l'action. Arrêtez-donc de regarder autour de vous et agissez.
Car il existe une multitudes de solutions/d'actions à notre échelle, qu'on peut appliquer dès maintenant mais il faut évidemment déjà en prendre conscience. Il est bon de savoir que les solutions les plus fortes sont les plus simples.
D'autres seront fatalistes car ils prennent bien conscience que des mouvements de masses seraient nécessaires et en effet, sans ça, on pourrait penser que c'est voué à l'échec.
Ce n'est pas totalement faux mais il y a une erreur de raisonnement. Quant est-il des gros mouvements actuels (à propos de leur taille) ? Pensez-vous vraiment naïvement que les choses actuelles ont toujours été comme ça ? Bien sûr que non. Vous vous rappelez que j'ai mentionné que seul le changement est constant ?
De plus, petite parenthèse, pour reparler fissa des gros mouvement actuels, voici une ultime considération pour les entêtés du fatalisme. Est-ce parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raisons ? Je ne dis pas qu'ils ont tort mais un peu d'esprit critique est vitale à mon sens. Et on a souvent, à tort, tendance de gober sans réfléchir ce qui vient de la masse. Alors qu'il y a du bon comme du mauvais.
Bref, je voulais dire par là que, peu importe le mouvement, tout commence par un début bien modeste.
Certains ont des démarrages fulgurants (et par conséquent ils nous marquent plus) mais ils font mesure d'exceptions.
Et il est vrai que cela peu freiner de par exemple, devoir rejoindre un nouveau réseau où il n'y a (encore) personne alors que tout le monde est sur un autre réseau (Pourtant, avant ce réseau les gens étaient sur un autre non ?) alors par défaut, on crie "Boouh c'est nul, y'a personne, je me casse" mais votre vision de la chose sera plus large si vous prenez en compte ce que j'ai dis plus haut.
Mais la deuxième grosse erreur que les gens se font à se propos, c'est parce qu'ils ne sont pas assez familier avec certains concepts décentraliser.
Faut-il vraiment se réunir en masse pour pouvoir égaler les grands pouvoirs contre lesquels on aimerait lutter ? N'est-ce pas ce qu'on pense en premier ? Mais est-ce, facilement, réalisable ? Pas vraiment.
Et c'est pour ça que j'ai posé cette première question, pour y répondre que, non, les mouvements de masses, ne sont pas 'nécessaires' :p et c'est là qu'on découvre la puissance des systèmes décentralisés - j'ai beaucoup cité des systèmes informatiques dans mes précédents exemples, mais sachez que ça peut très bien s'appliquer à ce que certains appellent abusivement par opposition "la vie réelle", mais certes en ce qui concerne le décentralisé, l'informatique regorge d'exemples de fonctionnement (coucou internet et autres), après faut juste s'y habituer.
Le mouvement décentralisé est / peut être beaucoup plus puissant que les mouvements centralisés classiques, il n'a pas de tête (donc on peut difficilement lui trancher ;)), pas d'abus de pouvoir dût à sa centralisation (car le pouvoir corrompt et c'est d'ailleurs de cette idée là qu'on souligne si souvent l'importance de la séparation des pouvoirs) (à ce propos vous pouvez regardez les excellentes conférences de Chouard, j'aime beaucoup ses idées même si je ne les suis pas toute et que je considère que je vais plus loin que lui à l'une de ses propres devises "Cherchez la cause des causes"), mais le mouvement décentralisé, sans souffrir des faiblesses des mouvements centralisés classiques, peut très bien atteindre sa taille, mais au moins on ne part plus avec l'idée quasiment impossible à réaliser qu'il faudrait un gros mouvement pour pouvoir changer les choses (et un gros mouvement ne se fait pas en claquant des doigts) là, où, les mouvements décentralisés, avec un mashup des idées que j'ai cité plus haut et d'autres, peut se commencer maintenant, à notre échelle et on peut déjà en profiter (il 'suffit' juste de savoir les bonnes solutions simples et efficaces).
Si vous avez des idées intéressantes, qui vous apportent des positifs à vous et à vos proches (parfois réticents aux changements, comme nous), elles finiront tôt ou tard par attirées d'autres personnes mais n'avancez qu'avec ceux qui sont prêts à avancer ;) Essayer de convaincre quelqu'un qui n'en a pas envie est presque systématiquement voué à l'échec si vous n'avez pas des arguments plus qu'inébranlables. Et puis à chacun de se forger sa propre opinion, ne croyez jamais sur parole, gardez l'esprit critique!
Ne vous identifiez pas à vos idées, vous êtes libres, si vous vous identifiez à vos idées et que vous faites malencontreusement une erreur (tout humain en fait, moi le premier), vous ne pourrez pas en évoluer, car si quelqu'un critique vos idées (à tort ou non, le truc est de garder l'esprit ouvert), vous vous sentirez vexés, blessés et vous risquez de rentrer dans un conflit.
Alors qu'il est bon, au prix de réussir à voir cette humilité, d'apprendre qu'on a fait des erreurs pour pouvoir s'améliorer.
De plus, comme la majorité d'entre nous passe par le stade d'identification, on a peur du changement, peur de perdre son identité (car on s'identifie à tout ce qu'on est pas, on s'identifie à ses biens (j'ai donc je suis), à son passé, son futur, sa situation, son savoir (je sais plus que toi; tu as tord j'ai raison), soyez vous même et tentez de trouver la paix intérieur (facile à dire en une phrase, je sais).
Ne jugez pas trop (on nous pousse beaucoup au jugement), au fond on recherche tous la même chose (bonheur, amitié, amour, …) mais on se trompe souvent sur la/les meilleures façon d'y parvenir. En grandissant dans une société majoritairement prédatrices (même si on a chacun son histoire), on se forge, on se protège (parfois par l'attaque) et ce dépend pour chaque personne.
Ces cercles vicieux ne peuvent que se nourrir si on les suit, je pense fortement que la meilleure façon (et la plus belle) de lutter contre ça est en créant des cercles vertueux (l'opposé des cercles vicieux) (je vous invite à faire quelques recherches sur le net :)) qui eux ne répandent que des bonnes choses.
Ne céder jamais à la violence, surtout dans le cas d'abus d'autorité supérieure (mais en général aussi :)), ça leur donnerait l'excuse en or de vous taper en retour (voir l'affaire des policiers en civil qui excitent les manifestations passives) et de nous enlever un peu plus de droits (si durement acquis par nos ancêtres (jusqu'à la mort de nombres d'entres eux)) (car nous sommes le danger contre lequel ils veulent nous protéger, soit disant)
"Celui qui sacrifie un peu de liberté, pour un peu de sécurité, ne méritent ni l'un ni l'autre."
Voir la stratégie du choc (recherchez sur le net), pour ceux qui n'ont pas trop peur de voir certaines vérités en face des trous; Mais ne cédez pas à la peur, la peur (et quelques autres émotions) nous manipulent (et/ou sont utilisées pour nous manipuler inconsciemment) et n'est en rien saine. -> Un problème qu'on ignore (peu importe la raison) est un problème qui n'existe pas.
Si vous voulez espérer résoudre un problème (et/ou rien qu'y trouver des solutions), il vous faut déjà prendre conscience de ce problème. Alors certes, les solutions ne sont pas forcément toujours évidentes, mais ne cédez pas à la paranoïa (différent de l'esprit critique/ouvert) ou au défaitisme. Personnellement, au contraire, ayant découvert ces solutions simples et efficaces, je suis maintenant heureux même d'apprendre des trucs graves/affreux (des trucs que parfois notre cerveau aurait parfois même tendance à vouloir nier tellement que parfois ça peut frôler l'inhumain (mais n'oubliez pas les conflits d’intérêts les justifiant :) et qu'on ne vit pas dans le joyeux monde de Mickey, ils s'en foutent un peu de vous ^^) car ça me permettra à terme de pouvoir lutter contre (particulièrement ou, plus souvent, comme partie d'un ensemble, d'idées et de concept) / de pouvoir faire en sorte que, s'il s'agit d'injustices par exemple, qu'elles s'arrêtent.
Enfin, il y aurait beaucoup (beaucoup beaucoup) d'autres choses à dire, de trop même, mais sachez que certaines sont plus édulcorées que d'autres, parfois ne tiennent pas de debout ou ne cites pas assez de source (sachez parfois apprécier certaines théories pour ce qu'elles sont … càd des théories justement), certaines requiert que vous ayez vous même quelques notions, et puis de toutes façons, n'oubliez pas que vous devez vous forger votre propre opinion (ne croyez personne sur parole, pas même moi (même si moi au moins, j'aurais bcp de document/sources à avancer pour prouver ce que je dis et je n'ai pas de conflits d'intérêts :) ce que j'aime faire est rempli de beaucoup d'altruisme, mais ne nous leurrons pas: selon moi l'altruisme n'empêche pas de penser à soit, ils sont compatibles)
(L'écriture n'est pas mon plus bel atout mais j'essaie de faire de mon mieux (mon dernier shaarlink ne me satisfait pas pour le coup par exemple))
On m'a souvent dit que je devrais écrire mes idées pour les partager, plutôt que de me contenter d'en parler avec quelques trop rares personnes ci et là.
Je me dit souvent rêveur mais, je me cite, qu'il est inutile de rêver si on ne réalise pas ces rêves et c'est pour cela que je ferais tout ou presque si nécessaire pour arriver à mes fins (mais elles ne sont pas vraiment égoïstes alors ça va).
Mais la vraie beauté de la chose, vous savez c'est quoi ? C'est qu'en plus d'y parvenir d'une façon ou d'une autre, si on trouve la bonne façon, ça n'a pas besoin d'être un vrai 'combat' dans le sens où il faudrait beaucoup combattre et ça peut même être bénéfique dès le début :)
Alors, je voudrais adresse un petit message aux fatalistes, sachez reconnaître que tout un chacun (donc vous et moi compris) sommes tous plus ou moins influencés par les autres, par l'extérieur et trop souvent certains prétextes que les autres étant plus nombreux que nous même (forcément) alors les choses sont inéluctables, mais qui sont les autres ? Ne faisons-nous pas partie d'un tout ? L'idée c'est qu'en faite, nous sommes aussi les autres.
Alors voulez-vous être influencés (car défaitiste, fataliste, …) ou influant ? Le changement, seule constante, se fait par l'action. Arrêtez-donc de regarder autour de vous et agissez.
Car il existe une multitudes de solutions/d'actions à notre échelle, qu'on peut appliquer dès maintenant mais il faut évidemment déjà en prendre conscience. Il est bon de savoir que les solutions les plus fortes sont les plus simples.
D'autres seront fatalistes car ils prennent bien conscience que des mouvements de masses seraient nécessaires et en effet, sans ça, on pourrait penser que c'est voué à l'échec.
Ce n'est pas totalement faux mais il y a une erreur de raisonnement. Quant est-il des gros mouvements actuels (à propos de leur taille) ? Pensez-vous vraiment naïvement que les choses actuelles ont toujours été comme ça ? Bien sûr que non. Vous vous rappelez que j'ai mentionné que seul le changement est constant ?
De plus, petite parenthèse, pour reparler fissa des gros mouvement actuels, voici une ultime considération pour les entêtés du fatalisme. Est-ce parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raisons ? Je ne dis pas qu'ils ont tort mais un peu d'esprit critique est vitale à mon sens. Et on a souvent, à tort, tendance de gober sans réfléchir ce qui vient de la masse. Alors qu'il y a du bon comme du mauvais.
Bref, je voulais dire par là que, peu importe le mouvement, tout commence par un début bien modeste.
Certains ont des démarrages fulgurants (et par conséquent ils nous marquent plus) mais ils font mesure d'exceptions.
Et il est vrai que cela peu freiner de par exemple, devoir rejoindre un nouveau réseau où il n'y a (encore) personne alors que tout le monde est sur un autre réseau (Pourtant, avant ce réseau les gens étaient sur un autre non ?) alors par défaut, on crie "Boouh c'est nul, y'a personne, je me casse" mais votre vision de la chose sera plus large si vous prenez en compte ce que j'ai dis plus haut.
Mais la deuxième grosse erreur que les gens se font à se propos, c'est parce qu'ils ne sont pas assez familier avec certains concepts décentraliser.
Faut-il vraiment se réunir en masse pour pouvoir égaler les grands pouvoirs contre lesquels on aimerait lutter ? N'est-ce pas ce qu'on pense en premier ? Mais est-ce, facilement, réalisable ? Pas vraiment.
Et c'est pour ça que j'ai posé cette première question, pour y répondre que, non, les mouvements de masses, ne sont pas 'nécessaires' :p et c'est là qu'on découvre la puissance des systèmes décentralisés - j'ai beaucoup cité des systèmes informatiques dans mes précédents exemples, mais sachez que ça peut très bien s'appliquer à ce que certains appellent abusivement par opposition "la vie réelle", mais certes en ce qui concerne le décentralisé, l'informatique regorge d'exemples de fonctionnement (coucou internet et autres), après faut juste s'y habituer.
Le mouvement décentralisé est / peut être beaucoup plus puissant que les mouvements centralisés classiques, il n'a pas de tête (donc on peut difficilement lui trancher ;)), pas d'abus de pouvoir dût à sa centralisation (car le pouvoir corrompt et c'est d'ailleurs de cette idée là qu'on souligne si souvent l'importance de la séparation des pouvoirs) (à ce propos vous pouvez regardez les excellentes conférences de Chouard, j'aime beaucoup ses idées même si je ne les suis pas toute et que je considère que je vais plus loin que lui à l'une de ses propres devises "Cherchez la cause des causes"), mais le mouvement décentralisé, sans souffrir des faiblesses des mouvements centralisés classiques, peut très bien atteindre sa taille, mais au moins on ne part plus avec l'idée quasiment impossible à réaliser qu'il faudrait un gros mouvement pour pouvoir changer les choses (et un gros mouvement ne se fait pas en claquant des doigts) là, où, les mouvements décentralisés, avec un mashup des idées que j'ai cité plus haut et d'autres, peut se commencer maintenant, à notre échelle et on peut déjà en profiter (il 'suffit' juste de savoir les bonnes solutions simples et efficaces).
Si vous avez des idées intéressantes, qui vous apportent des positifs à vous et à vos proches (parfois réticents aux changements, comme nous), elles finiront tôt ou tard par attirées d'autres personnes mais n'avancez qu'avec ceux qui sont prêts à avancer ;) Essayer de convaincre quelqu'un qui n'en a pas envie est presque systématiquement voué à l'échec si vous n'avez pas des arguments plus qu'inébranlables. Et puis à chacun de se forger sa propre opinion, ne croyez jamais sur parole, gardez l'esprit critique!
Ne vous identifiez pas à vos idées, vous êtes libres, si vous vous identifiez à vos idées et que vous faites malencontreusement une erreur (tout humain en fait, moi le premier), vous ne pourrez pas en évoluer, car si quelqu'un critique vos idées (à tort ou non, le truc est de garder l'esprit ouvert), vous vous sentirez vexés, blessés et vous risquez de rentrer dans un conflit.
Alors qu'il est bon, au prix de réussir à voir cette humilité, d'apprendre qu'on a fait des erreurs pour pouvoir s'améliorer.
De plus, comme la majorité d'entre nous passe par le stade d'identification, on a peur du changement, peur de perdre son identité (car on s'identifie à tout ce qu'on est pas, on s'identifie à ses biens (j'ai donc je suis), à son passé, son futur, sa situation, son savoir (je sais plus que toi; tu as tord j'ai raison), soyez vous même et tentez de trouver la paix intérieur (facile à dire en une phrase, je sais).
Ne jugez pas trop (on nous pousse beaucoup au jugement), au fond on recherche tous la même chose (bonheur, amitié, amour, …) mais on se trompe souvent sur la/les meilleures façon d'y parvenir. En grandissant dans une société majoritairement prédatrices (même si on a chacun son histoire), on se forge, on se protège (parfois par l'attaque) et ce dépend pour chaque personne.
Ces cercles vicieux ne peuvent que se nourrir si on les suit, je pense fortement que la meilleure façon (et la plus belle) de lutter contre ça est en créant des cercles vertueux (l'opposé des cercles vicieux) (je vous invite à faire quelques recherches sur le net :)) qui eux ne répandent que des bonnes choses.
Ne céder jamais à la violence, surtout dans le cas d'abus d'autorité supérieure (mais en général aussi :)), ça leur donnerait l'excuse en or de vous taper en retour (voir l'affaire des policiers en civil qui excitent les manifestations passives) et de nous enlever un peu plus de droits (si durement acquis par nos ancêtres (jusqu'à la mort de nombres d'entres eux)) (car nous sommes le danger contre lequel ils veulent nous protéger, soit disant)
"Celui qui sacrifie un peu de liberté, pour un peu de sécurité, ne méritent ni l'un ni l'autre."
Voir la stratégie du choc (recherchez sur le net), pour ceux qui n'ont pas trop peur de voir certaines vérités en face des trous; Mais ne cédez pas à la peur, la peur (et quelques autres émotions) nous manipulent (et/ou sont utilisées pour nous manipuler inconsciemment) et n'est en rien saine. -> Un problème qu'on ignore (peu importe la raison) est un problème qui n'existe pas.
Si vous voulez espérer résoudre un problème (et/ou rien qu'y trouver des solutions), il vous faut déjà prendre conscience de ce problème. Alors certes, les solutions ne sont pas forcément toujours évidentes, mais ne cédez pas à la paranoïa (différent de l'esprit critique/ouvert) ou au défaitisme. Personnellement, au contraire, ayant découvert ces solutions simples et efficaces, je suis maintenant heureux même d'apprendre des trucs graves/affreux (des trucs que parfois notre cerveau aurait parfois même tendance à vouloir nier tellement que parfois ça peut frôler l'inhumain (mais n'oubliez pas les conflits d’intérêts les justifiant :) et qu'on ne vit pas dans le joyeux monde de Mickey, ils s'en foutent un peu de vous ^^) car ça me permettra à terme de pouvoir lutter contre (particulièrement ou, plus souvent, comme partie d'un ensemble, d'idées et de concept) / de pouvoir faire en sorte que, s'il s'agit d'injustices par exemple, qu'elles s'arrêtent.
Enfin, il y aurait beaucoup (beaucoup beaucoup) d'autres choses à dire, de trop même, mais sachez que certaines sont plus édulcorées que d'autres, parfois ne tiennent pas de debout ou ne cites pas assez de source (sachez parfois apprécier certaines théories pour ce qu'elles sont … càd des théories justement), certaines requiert que vous ayez vous même quelques notions, et puis de toutes façons, n'oubliez pas que vous devez vous forger votre propre opinion (ne croyez personne sur parole, pas même moi (même si moi au moins, j'aurais bcp de document/sources à avancer pour prouver ce que je dis et je n'ai pas de conflits d'intérêts :) ce que j'aime faire est rempli de beaucoup d'altruisme, mais ne nous leurrons pas: selon moi l'altruisme n'empêche pas de penser à soit, ils sont compatibles)
(L'écriture n'est pas mon plus bel atout mais j'essaie de faire de mon mieux (mon dernier shaarlink ne me satisfait pas pour le coup par exemple))